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Visages
D’après Grand cours pratique de dessin, de Dominique Manera aux éditions De Vecchi, 2006
Second jour au crayon, vraiment, ça fait bizarre. Pour l’instant, je me contente de copies rapides pour tenter de retrouver des sensations au crayon : j’ai passé plus de temps sur le premier, puis, peu satisfaite de l’effort, j’ai choisi d’accélerer le rythme pour trouver des automatismes. On verra si ça vient.
Encore une fois
Ils ne sont toujours pas ressemblants à la réalité, mais peut-être qu’à force de pratique j’y arriverai.
Devinette
En plein travail ou en plein somme ?
(en réalité, et pour ne froisser personne : en pleine prise de notes sur ordinateur)
Check out my Slide Show!
Ayé, j’ai pris mes billets ! Il ne reste plus que deux pièces au puzzle : un dernier hôtel et un dernier bout de train. Un épuisement total avec des journées passées sur internet à rechercher nos billets. Il nous faudrait maintenant des vacances rien que pour nous remettre d’avoir prévu des vacances.
J’ai fait quelques retouches photo pour donner un effet à mon dessin. J’ai testé ici la nouvelle fonctionnalité de WordPress qui propose des passerelles simplifiées vers des diaporamas en ligne (slide show). Un souci : j’ai cliqué trop vite et n’ai plus la main sur mon diaporama. Impossible de le supprimer, par exemple, ou de l’amender en y ajoutant la mention de mon copyright, le même que sur mon blog :
Visages
Deux sites à consulter plus en détail : je vais peut-être commencer à suivre quelques conseils, je commence à me sentir prête à ça. :p Ces deux sites ont l’air très riches, l’un en exemples, l’autre en tutoriels (renouer avec Photoshop, par exemple, ou apprendre quelques trucs de dessin manga, utile sans doute en toute occasion)
La fièvre
C’est vraiment histoire de remplir ma date au calendrier car ces dessins, d’une main fiévreuse et faible (envoyez-moi des chocolats pour l’après-guérison) sont bien boiteux. J’ai eu droit à une tisane au gingembre après la réunion, puis je me suis fait raccompagner vers la sortie par la cavalerie bleue en chapeau : ce n’était pas le soir pour me perdre dans le labyrinthe de l’établissement, alors j’ai su quérir quelque aide en prenant la mine de circonstance : « j’suis sympa mais j’suis un peu bête, j’ai peur de m’perdre, dites ».
Ou comment passer maître dans l’art de se faire plaindre, héhé.
Paris
D’après une photographie de Romain Duris, issue du dernier film de Cédric Klapisch, Paris
Je ne suis pas encore allée voir le film. Je craignais un Paris, je t’aime bis, collection de courts-métrages certes sympathique mais à voir une seule fois. Les réalisateurs ne s’y trompent pas, Paris est une ville très cinématogénique. Seulement voilà, la chose peut devenir lassante, surtout si la qualité, ou l’originalité, ne suit pas.
Pourtant, j’ai beaucoup apprécié dernièrement le regard de Christophe Honoré sur Paris (les Chansons d’amour, Dans Paris). Un regard à mon sens très sincère et généreux : ses personnages habitent réellement leur ville, bien au-delà du décor de cinéma. Il est certain que les belles paroles des chansons du film ajoutent à l’impression.
Vivre, c’est aussi habiter quelque part. Bien que l’on voudrait nous faire croire autre chose en ce moment.
Extrait de la Bastille (les Chansons d’amour, paroles et musique d’Alex Beaupain, bande originale du film)
Il pleut des cordes sur le génie
De la place de la Bastille
Nous marchons sous un ciel gris
Percé par des milliers d’aiguilles
Il pleut des cordes sur le génie
Les nuages trop lourds s’abandonnent
De l’eau pour les gens de Paris
Pour l’ange nu sur la colonneA l’horizon de nos fenêtres
Plus rien ne bouge, plus rien ne vit
Comme Paris semble disparaître
Dilué dans de l’eau de pluieVoir plus ici.
Le sommet des Dieux (2)
Dessin du 6 février 2008 (99)
Mes collègues
Partager un bureau, c’est important. Dans le mien, on travaille, on rigole, on s’entraide, on teste les tablettes de chocolat et l’on ressort toujours moins bête qu’à l’arrivée. Bref, on s’entend bien. J’avais envie d’avoir une image de leur trombine. Malhreureusement la ressemblance n’y est pas. Mais vraiment pas ! Je n’ai donc pas besoin de faire une déclaration à la CNIL de mes dessins 😉
(Je maitrise nettement moins The Gimp : flou, mauvais pixels, bruit.)
Dessins du 4 février 2008 (97)
La France est au travail (yarf, yarf). Ca révise, ça se tient la tête, ça prend des notes sur son mobile, ça s’endort ausi parfois.
Navion – novembre 2007
D’après Tintin et le Sceptre d’Ottokar –
Je n’avais jamais réellement lu de Tintin. Petite, je trouvais les bulles trop bavardes et le découpage trop serré : quitte à lire du texte, j’aimais autant lire des « vrais livres avec plein de chapitres »et des mots compliqués qui expliquaient la vie de nos amis les bêtes. En revanche, l’adaptation télévisuelle était sympa. Ado, je n’y voyais plus que le tortionnaire d’animaux et le colon européen.
Récemment, je me suis retrouvée avec 4 volumes, et quelle ne fut pas ma surprise, j’ai trouvé ça chouette. Je trouve les histoires bien ficelées, sur un bon rythme de blagues et porteur d’un esprit de découverte très plaisant. C’est fou comme on peut prendre les choses en route…
D’autant qu’en ce moment, mon seul « contact » avec la série était la polémique dans le milieu du livre (et des bibliothèques) sur un faut-il censurer Tintin (au Congo, notamment) ? Mettre un bandeau noir « Lire Tintin peut nuir au bon développement moral de vos enfants », etc. Une polémique intéressante car elle révèle les contradictions de notre époque, et souligne une fois encore le grand malaise de nos sociétés sur un passé pas toujours lisse. Et le grand impératif catégorique de l’éducation de nos jeunes. Cacher, masquer, lisser (la cigarette de Lucky Luke), réécrire… suivant les paradigmes d’une époque. Ca pose tout de même pas mal de questions. Mais qui cachera les gens dans la rue ? ah remarquez, certaines mauvaises langues disent que certaines lois y concourent déjà…